Une étudiante étrangère regrette d’avoir tourné des films porno
10 octobre 2014Une étudiante étrangère regrette d’avoir tourné dans certains films pornographiques québécois de Pegas Productions, une fois que ça famille vivant à des milliers de kilomètres les a vus.
En voici un extrait :
Une jeune femme qui a tourné des films pornographiques pour une maison de production québécoise s’en mord les doigts aujourd’hui. Sa famille qui vit à des milliers de kilomètres les a vus. Et ça la gêne. Le hic c’est que ça lui coûterait des milliers de dollars pour les retirer du web.
«Je n’avais pas confiance de l’impact que ça aurait. Je me suis juste dit qu’un film parmi 50 000 dans le monde, il n’y a pas de chance que quelqu’un tombe sur ça par hasard.»
Évidemment, les vidéos mises en ligne sur le site de Pegas ont voyagé d’un continent à l’autre. Angélique a supplié Pegas de les retirer.
«L’arrangement final c’est que pour les enlever toutes, même celles qui ne sont pas parues, il fallait que je paye un total de 15 000 $.»
Et c’est ici qu’entrent en jeu les données comptables de Pegas qui jettent à terre la pauvre Angélique qui veut retrouver sa vertu.
«La participation des acteurs et des actrices dans une production constitue de 12 à 15 % du coût de la production. Il faut qu’ils soient conscients de ça. L’acteur pense que parce qu’il a reçu une centaine de dollars pour la scène il n’aura qu’à redonner ça et “on va être kif-kif”», a expliqué le propriétaire de Pegas, Nicolas Lafleur.
Source : Le Journal de Montréal
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